مدونة الميموني سيدي بيبي

l'anachroniue Gran Theatre Cervantes renfloué grace a l'argent Marocain pour perpétruer la culture iberique

 Contrat mal ficelé ou volonté de vouloir perpétuer l'histoire des colons?

Construit en 1913 par un Colon Espagnol et sa femme devenus riches par l'appropriation des terres de Marocains sous le protectorat ( Manuel Pena Esperanza et son epouse) par l'architecte Tangerois Diego Gimenez très proche des financiers Juifs de l'époque, il est inauguré le 12 decembre 1913.

L'architecte Diego Gimenez a egalemnt construit les edifices suivants:

 la Maison Menebhi (1910), le Palais Moulay Hafid (1912), la Maison Toledano (1915)

C'est un édifice en ruine datant de l'époque du colonialisme et qui, a cause de l'age tombe en ruine totalement.L'Espagne incapable de financer sa restauration a pu obtenir la prise en charge totale par le Maroc de sa remise en état mis ce qui choque ici le fait d'imposer par l'Espagne de le réserver uniquement a la culture espagnole.Ailleurs, c'est au pays qui veut perpétuer sa culture de dépenser la remise en état.

Voici les photos successives de la dégradation du Gran theatre Cervantes de Tanger:

Photo du theeatre en 1913


photos du theatre les années qui susivent jusqu(a aujourd'hui en 2023


Des  des statues d’anges figés dans le temps qui le surplombent continent de résister a la moisissure et aux aléas de l'océan, et dans les couloirs internes le très cher  aventurier farfelue quj combattait les moulins a vent , Don Quichotte de la Mancha sur son cheval se battant fièrement contre des dragons,
 
Voici ce que les médias espagnols font propager::*citation ;Des débris, c’est tout ce qui reste de ce bijou architectural pillé jusqu'à la moelle. On ne compte plus les vitraux, les lustres, les robinets, les toiles, les décors ou les tentures qui sont allés orner les magnifiques maisons de Tanger.  "
Le gran theatre cervantes de Tanger aujourd'hui,  un théatre lépreux obstruées par des planches en bois ,  et le reste des  rangées de sièges en bois, qui accueillaient au temps de leur splendeur 1400 spectateurs

. En 1928, ses richissimes propriétaires, Manuel Peña et son épouse, Esperanza Orellana, l'avaient, en effet, cédé à l'Espagne pour qu'il continue à assurer la présence culturelle ibérique à Tanger. Mais les imbroglios diplomatico-administratifs entre Madrid et Tanger ont emporté le théâtre, qui est désormais loué à la municipalité pour un dirham symbolique.

Aujourd’hui, il gît à l’abandon, sans autre occupation que de compter les grains de poussières s’amassant sur son corps et de ressasser les souvenirs d’un passé glorieux… Le Grand théâtre Cervantès n’est rien de plus qu’un anachronisme flagrant, qui fait soulever de temps à autres quelques sourcils curieux mais qui le plus souvent fond dans le décor d’une ville ravagée par la modernité…


 



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