Retour sur l'affaire du commissaire Tabit et les allegations médiatiques نظرة إلى الوراء على قضية المفوض تابت ومزاعم وسائل الإعلام
Vingt ans après le scandale criminel perpétré par le commissaire Tabit en 1993 et treiza ans après la grace Royale des compagnons de cellules ,j ai été choqué par des pamphlets de presse en ligne et écrite qui minimise ce crime odieux qui a bouleversé nos moeurs et notre confiance.
Des médias invoque ces crimes répétitifs orchestré par un agent chargé de la sécurité des citoyens et qui a en fait ses victimes.
La presse invoque .....
_ Une affaire qui s'apparente à une véritable guerre des services
_ Une mise en scène spectaculaire du phénomène Tabit instrumentalisée pour déstabiliser l'état major de la DGSN
_ Une aventure pour détourner l'attention d'une société Marocaine au bord de l'implosion sous les effets d'une crise sociale.
_ Une guerre des services de police
_ Opération nécessaire et urgente ayant pour trouver un dérivatif susceptible de détourner l'attention de l'opinion publique.
_ Une mafia politico-militaire qui a exploité l'affaire du commissaire
_ L'affaire du commissaire violeur avait été instrumentalisée pour déstabiliser l'état major de la DGSN.
Et l'on traite meme les deux étudiantes en médecine victimes de filles légères gérées par un proxénète couvert par un chancelier du palais!
A ces médias je rappelle que Tabit dépendait d'un autre , son chef qui gérait le quartier de hay Mohammadi Ain Sebaa, lui aussi inculpé.
Le directeur d'ecole , cet homme d'affaire et le médecin "rapiéceur" de virginité, et les inspecteurs, tout ce monde a mon avis constituait tout simplement un complexe actif au service du commissaire Tabit. Tout ce beau monde constituait un underground sordide, où se mêlent sexe pouvoir et argent, un microcosme social se vautre dans la dépravation. Homosexualité, viol et sadisme.
Ainsi Les roles de ces hauts fonctionnaires étaient de veiller sur la sécurité des citoyens et leur protection et non de permettre et faciliter a leurs collèges exploitation sans limites des citoyens devenus leurs brebis.
Pour tout dire, c'était un complexe d'inginéerie au service d'un petit commissaire de police
Pour rappel, les mis en cause:
Ahmed Ouachi, Abdeslam Bekkali, Mustapha Ben Maghnia, les officiers Aziz Sebbar, Abdellatif Abbad, Lahcen Jaafari, Zouhaïr Fikri, Aït Si Mustapha et les inspecteurs Sliman Jouhari, Selam Fedali, et les civils, Abdellatif Boussaïri, directeur d'école à Casablanca , Driss Lahlou, gynécologue de son état, Dou Naïm Abdelkader, Mohamed Rabii et Abdelahad Lamrini. Il y a en tout 16 personnes .
les motifs:
destruction de documents publics, falsification, entrave à la justice, complicité dans un bris de scellés et non-dénonciation
Les preuves:
18 cassettes vidéo ont permis ainsi d'identifier plus de 518 femmes et nombre de personnalités, du monde politique et financier mis en cause dans cette naffaire
Enquete:
police ecartée
Le général Hosni Benslimane charge son homme de confiance à Casablanca le lieutenant-colonel Abdellatif Dinar de prendre en main le dossier en collaboration avec les colonels major Bennouna et Serbout. Le commandant régional de la gendarmerie à Casa, Mohamed Hajoui suit de près l'enquête.
Tabit et la justice: c 'est un recediviste
1980, en poste a beni Mellal, il est impliqué dans une affaire de tentative de suicide d'une jeune fille du caaid en fonction qu'il avait violée L'affaire avait été étouffée
et l'affaire avait été etoufée.
1990, il est trainé devant la justice en tant que commissaire par une femme qui l'accusait de viol avec séquestration et violence mais le le parquet avait alors cédé à des pressions et a classé l'affaire
condamné le 18 février 1993 pour "attentat à la pudeur, défloration, viol avec violence, rapt et séquestration d'une femme mariée, actes de barbarie, incitation à la débauche entre autres"
photo ex commissaire tabit
photo ex commissaire ouachi
photo ex commissaire benmaghnia